Un arbre aux épines
Un jour, en Sicile. Une rencontre étrange.
Aux épines, voyez le tronc et aux fleurs magiques. Je crois qu’il s’agit d’un Kapoquier mais je n’en suis pas sûre.
- Publié dans: Jardin et fleurs♦Sicile
- Tagué:arbre, Fleurs
lamaisondesmarguerites
Une envie de vous faire partager ce qui m'entoure… et le monde est vaste, n'est-ce pas !
Dans vos yeux
Feuilles mortes
Tiroirs
- Aidante
- Aigues-Mortes
- Ailleurs en France
- Albi
- Aquitaine
- Arles
- Aubrac
- Aude
- Aveyron
- Belles maisons
- Bordeaux
- Buzet-sur-Tarn
- Cagnac-les-Mines
- Cahors
- Cahuzac-sur-Vère
- Cantal
- Carcassonne
- Castelnau de Montmirail
- Castres
- Clin d'oeil
- Collonges-la-Rouge
- Corbières
- Cordes-sur-Ciel
- Corrèze
- Dordogne
- En regardant le ciel
- Espagne
- Gaillac
- GARD
- Gourmandise
- Grau-du-Roi
- Haute-Garonne
- Hérault
- Huesca
- Italie
- Jardin et fleurs
- Le film du jour
- Le Salagou
- Lisle-sur-Tarn
- Lot
- LOU
- Luchon
- Madrid
- Marqueyssac
- Mauriac
- Montauban
- Montolieu
- Morceaux choisis
- Musiques au coeur
- Narbonne
- Nature
- NOÊL
- Paris
- Paris
- Pays Basques
- Périgord
- Pigeonniers
- port-Camargue
- Portes
- Puycelsi
- Pyrénées Orientales
- Rabastens
- Reflets
- Rome
- Saint-Guilhem-le-Désert
- Salses
- Saragosse
- Sarlat
- Sicile
- Sicile
- Sorèze
- St Antonin-de-Noble-Val
- Tarn à coeur
- Tarn-et-Garonne
- Toulouse
- Venise
- Volutes
Chez vous…
- Les lames du dragon
- La Maison des Marguerites
- Le Grand Est
- Lumières de l'ombre
- UN ESPRIT SAIN DANS UN CORSAGE
- plumes d'anges
- WordPress
- PAC
- Presquevoix...
- Feuilles de Choux
- Eclats de Mots
- Objet Blog[u]ant Non Identifié
- Le blog de Perlette
- voix de l'oubli
- Oxymoron fractal
- Bonheur du jour
- Almanachronique des villes et des campagnes
- J'ai descendu dans mon jardin...
- Au Bois des Biches
- VALERY LORENZO
- Le Jardin d'Aime Haut
- Elisabeth Baysset
- chezlune3.canalblog.com
- Les carnets de Mathilde
- Espaces, instants
- Les rêves d'Eugénie
- La photo du jour
- Les beautés de Montréal
A bon entendeur
Prédicateur, prêcheur de bonne parole au singulier ou pluriel, au sens propre comme au figuré ! PASSEZ VOTRE CHEMIN !
Mots divers et variés
Abbaye Albi ange arbre Art BARBACANE barque Boîte à lettres cadran solaire cathédrale Chapeau chapelle CHARIOT charrette chemin château Ciel Cloche clocher CLOÎTRE coucher de soleil COULEURS Eglise fenestrou fleur Fleurs Fontaine gare Glycine horloge Jardin Lavoir LIRE livre Lumière Maison marché Mer Moulin Mur Musée ombre OPERA Parc Paysages peintre Phare pivoine Place pont Port Porte Promenade Reflet Remparts RESTAURANT Rome Rose roses Roulotte Route ruelle Rues sculpture SOURIRE tableau théâtre Toit Vitraux vitrine voiture volutes Vélo épouvantail étoilesVos mots
Vers vous
PLAISIRS DES MOTS
Chanson "Si jamais j'oublie" interprétée par ZAZ
Rappelle-moi le jour et l'année
Rappelle-moi le temps qu'il faisait
Et si j'ai oublié,
Tu peux me secouer
Et s'il me prend l'envie d'm'en aller
Enferme-moi et jette la clé
Aux piqûres de rappel
Dis comment je m'appelle
Si jamais j'oublie, les nuits que j'ai passées
Les guitares et les cris
Rappelle-moi qui je suis, pourquoi, je suis en vie
Si jamais j'oublie les jambes à mon cou,
Si un jour je fuis,
Rappelle- moi qui je suis, ce que je m'étais promis
Rappelle-moi mes rêves les plus fous
Rappelle-moi ces larmes sur mes joues
Et si j'ai oublié, combien j'aimais chanter
Si jamais j'oublie, les nuits que j'ai passées
Les guitares et les cris
Rappelle-moi qui je suis, pourquoi je suis en vie
Si jamais j'oublie les jambes à mon cou,
Si un jour je fuis,
Rappelle-moi qui je suis, ce que je m'étais promis
Oh oh oh Ooooh...
Rappelle-moi qui je suis
Si jamais j'oublie les jambes à mon cou,
Si un jour je fuis,
Rappelle-moi qui je suis, ce que je m'étais promis
Si jamais j'oublie, les nuits que j'ai passées
Les guitares et les cris
Rappelle-moi qui je suis, pourquoi, je suis en vie
Rappelle-moi le jour et l'année
o*o*o*o*o*o*o*o*o*o*o*o*o*o*o*
Si jamais tu reviens en terre natale
À pas lents comme un cheval dont le soir accroît la fatigue
Oh va dans ce jardin
Retrouver la rose méconnaisable
Le chrysanthème à la crinière de lion
_ D’immenses araignées volent avec des papillons
Comme dans les fièvres de l’enfance
Souris ou pleure mais ne crains rien
C’est l’ombre qui remue avant d’être nuit claire
Georges Schehadé
« Les Poésies » édition augmentée de « Le nageur d’un seul amour » – NRF
<3 <3 <3 <3 <3 <3 <3 <3
Lorsque je serai mort
Lorsque je serai mort, toi qui as des yeux bleus
couleur de ces petits coléoptères bleu de feu
des eaux, petite jeune fille que j’ai bien aimée
et qui as l’air d’un iris dans Les fleurs animées,
tu viendras me prendre doucement par la main.
Tu me mèneras sur ce petit chemin.
Tu ne seras pas nue, mais, ô ma rose,
ton col chaste fleurira dans ton corsage mauve.
Nous ne nous baiserons même pas au front.
Mais, la main dans la main, le long des fraîches ronces
où la grise araignée file des arcs-en-ciel,
nous ferons un silence aussi doux que du miel ;
et, par moment, quand tu me sentiras plus triste,
tu presseras plus fort sur ma main ta main fine
— et, tous les deux, émus comme des lilas sous l’orage,
nous ne comprendrons pas... nous ne comprendrons pas.
Francis Jammes
xxxx*xxxx*xxxx*xxxx*xxxx*xxxx*
LA POMME (Lucie Delarue-Mardrus)
L’odeur de mon pays était dans une pomme.
Je l’ai mordue avec les yeux fermés du somme,
Pour me croire debout dans un herbage vert.
L’herbe haute sentait le soleil et la mer,
L’ombre des peupliers y allongeait des raies,
Et j’entendais le bruit des oiseaux, plein les haies,
Se mêler au retour des vagues de midi.
Je venais de hocher le pommier arrondi,
Et je m’inquiétais d’avoir laissé ouverte
Derrière moi, la porte au toit de chaume mou...
Combien de fois, ainsi, l’automne rousse et verte
Me vit-elle, au milieu du soleil et, debout,
Manger, les yeux fermés, la pomme rebondie
De tes prés, copieuse et forte Normandie ?...
Ah ! je ne guérirai jamais de mon pays !
N’est-il pas la douceur des feuillages cueillis
Dans leur fraîcheur, la paix et toute l’innocence ?
Et qui donc a jamais guéri de son enfance ?...
&-&-&-&-&-&-&-&-&-&-&
Francis Carco
"JARDINS
Il a plu. Le jardin, dans l’ombre, se recueille.
Les chrysanthèmes vont mourir sans qu’on les cueille.
Dans les sentiers mouillés, effeuillaisons de fleurs
Trop pâles ; sur le sable, où pas un bruit ne bouge,
Évanouissement des grands dahlias rouges.
Murmure indéfini de toutes ces douleurs
De choses écoutant agoniser les fleurs.
Et de blancs pigeonniers veillent le crépuscule...
Mon enfance, de moi, comme tu te recules,
Parmi ce soir qui tombe et ce jardin qui meurt !
Tu pars et tu ne reviendras jamais, peut-être ;
Ton souvenir, déjà, n’est plus qu’une rumeur
Dans un halo, et qui, bientôt, va disparaître.
Et je reste à rêver, tout seul, à la fenêtre... "
+*+*+*+*+*+*
Aimez-vous le passé
Aimez-vous le passé
Et rêver d’histoires
Évocatoires
Aux contours effacés ?
Les vieilles chambres
Veuves de pas
Qui sentent tout bas
L’iris et l’ambre ;
La pâleur des portraits,
Les reliques usées
Que des morts ont baisées,
Chère, je voudrais
Qu’elles vous soient chères,
Et vous parlent un peu
D’un coeur poussiéreux
Et plein de mystère.
Paul-Jean Toulet, Chansons
o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o
"Il a dormi sur les mains.
Sur un rocher.
Sur ses pieds.
Sur les pieds de quelqu’un d’autre.
Il a dormi dans des bus, des trains, des avions.
Dormi pendant le service.
Dormi au bord de la route.
Dormi sur un sac de pommes.
Il a dormi dans une sanisette.
Dans un grenier à foin.
Il a dormi sur des chaises, dans des églises, des hôtels de luxe.
Il a dormi sous des toits étrangers toute sa vie.
Maintenant il dort sous la terre.
Il n’en finit pas de dormir.
Comme un vieux roi."
Raymond Carver
****** *** ****** ** ******
"Et si tu n’as pas vu ce joli sentiment
que Zénaïde Fleuriot a nommé l’amour,
je te l’expliquerai lentement, lentement,
comme si tu hissais ta bouche vers ma bouche,
avec tes genoux ronds pressés à mes genoux.
Alors, tu verras ce sentiment qui est l’amour,
que l’on cache beaucoup et dont on parle tant."
Françis JAMMES
✁✁✁✁✁✁✁✁✁✁✁✁✁✁
"Ce n'est pas drôle de mourir
Et d'aimer tant de choses,
La nuit bleue et les matins roses,
Les fruits lents à mûrir."
TOULET
**--**--**--**--**--**--**
"je voudrais bâtir une ville heureuse
avec des arbres et des eaux,
de grands arbres serrés sur de secrets oiseaux
comme dans nos vieux livres d’images
quand nous étions des enfants sages,
de ces arbres gonflés d’étranges sèves
et qui savaient nourrir et bercer tous nos rêves."
Louisa Paulin
- . - . -. - . -. - . - . - . - . -
S.O.S. POESIE
Je fus un jeune homme chagrin,
un bonhomme dans le pétrin.
Je voudrais bien vieillir malin.
Un poète en moi fait l'zouave
bien qu'on m'interdise la cave
et la cigarette suave.
J'en ai marre à la fin des fins !
– Poésie, rends-moi donc malin !
Par la barbiche tu me tiens.
Les chansons du coeur de Jean Cuttat
❤ ❥ ❤ ❥ ❤
Pétales de pivoine de Guillaume Appolinaire
Quand je fais pour toi mes poèmes quotidiens et variés
Lou je sais bien pourquoi je suis ici
À regarder fleurir l’obus à regarder venir la torpille aérienne
À écouter gauler les noix des véhémentes mitrailleuses
Je chante ici pour que tu chantes pour que tu danses
Pour que tu joues avec l’amour
Pour que tes mains fleurissent comme des roses
Et tes jambes comme des lys
Pour que ton sommeil soit doux
! - ! - ! - ! - !
Dans Arles, où sont les Alyscamps,
Quand l’ombre est rouge, sous les roses,
Et clair le temps,
Prends garde à la douceur des choses.
Lorsque tu sens battre sans cause
Ton cœur trop lourd ;
Et que se taisent les colombes :
Parle tout bas, si c’est d’amour,
Au bord des tombes.
(Paul-Jean Toulet)
un plaisir des yeux
Pivoine pleureuse
Le ciel de LOU
Ce diaporama nécessite JavaScript.
Fleur parmi les fleurs
Ce diaporama nécessite JavaScript.
Dans le Tarn à coeur
Ce diaporama nécessite JavaScript.
Portes d’entrée ou de sortie
Ce diaporama nécessite JavaScript.
Sérénité
Reproductions
Les photographies visibles ici ne sont pas libres de droit, pour un usage personnel, merci de m'en demander l'autorisation (que j'accorderai alors, volontiers)
lamaisondesmarguerites 
Dissuasif. Un arbre qui peut servir d’enceinte 😉
J’aimeAimé par 1 personne
Je pense que Dame Nature lui a créé une armure pour le protéger. Donc continuons l’enquête !
Une enceinte avec une sacrée ceinture de « chasteté » !:lol:
J’aimeJ’aime
mais qu’est-ce que ce drôle d’arbre, je vais m’en enquérir de ce pas !!! Bises. brigitte
J’aimeAimé par 1 personne
On retrouve ces arbres un peu partout comme nous qui avons des platanes ou des lauriers rose. Les épines sont très acérées. Les fleurs sont une merveille. Légères, comme celles des azalées ou des iris ou mieux hémérocailles.
J’aimeJ’aime
Quel beauté mais attention aux doigts et aux jolies robes si on s’approche de trop près.
C’est la première fois que je vois cette variété.
Bisous, Lou ♥
J’aimeAimé par 1 personne
Il vaut mieux éviter de lui faire un câlin ! Ce fut réellement une découverte, et le contraste entre les épines et la beauté de ses fleurs !
Bonne soirée Denise. 😉
J’aimeJ’aime
oh la la! « Quelle beauté » (désolée).
J’aimeAimé par 1 personne
Même pas que je l’avions vue !
J’aimeJ’aime
Qui s’y frotte s’y pique…
Il s’agit bien de Ceiba speciosa.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ceiba_speciosa
Un autre bien sympathique vu dans un jardin public du 5ème à Paris, où les nounous gardaient des p’tits bouts, Gleditsia triacanthos
https://fr.wikipedia.org/wiki/F%C3%A9vier_d'Am%C3%A9rique
J’aimeAimé par 1 personne
Merci Agathe. Tu as vu combien les fleurs du Ceiba speciosa sont belles. Je t’assure tant de légèreté et de grâce pour les fleurs d’un arbre aux épines impressionnantes !
J’aimeJ’aime
Ce spécimen est magnifique, merci d’avoir exhumé cette photo de tes archives !
Ceiba pentandra (le kapoquier) a des fleurs différentes, même s’ils sont tous les deux du genre « ceiba », les fromagers.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ceiba_pentandra
Ils appartiennent à la famille des Bombacaceaes qui comprend aussi les baobabs, le balsa (des maquettes), le pachira (très à la mode en plante d’intérieur) et le durian dont l’excellent fruit à grosses épines me fascinait à mon époque parisienne quand je fréquentais les boutiques du « quartier chinois ».
https://fr.wikipedia.org/wiki/Durian
Qu’est-ce que j’ai pu m’amuser avec la tête de ceux qui goûtaient aux bonbons au durian que j’achetais quand la saison du fruit était terminée.
Je dégustais le fruit (vendu aussi déjà découpé et en barquette) au dessert, sans le riz gluant 😉 je ne sais pas si mes voisins de l’époque auraient aimé que je parfume le local à poubelles en jetant l’écorce dans le bac !
J’aimeAimé par 1 personne
Merci Agathe. Je ne sais pas pourquoi tes commentaires basculent en indésirable. Mais bon je rectifie…
Cela me donne envie d’y goûter, malgré l’odeur décriée. J’aime les fromages et même ceux au « parfum » prononcé. Donc peut-être qu’un jour… 😉
J’aimeJ’aime
Pour ces 2 commentaires, il m’a mis qu’ils étaient « en attente de modération », je pense que c’est une sécurité car ils comportaient des liens… et que celui-ci devait passer normalement (j’espère : 😉 )
J’aimeAimé par 1 personne
CQFD 😆
J’aimeJ’aime
J’en ai trouvé un autre, du genre Gleditsia => https://fr.wikipedia.org/wiki/Gleditsia
J’aimeJ’aime