Plénitude
Il est 21 h 30.
Le calme sur la ville. Je n’entends que les chants des cigales dans ma tête, le frémissement du moteur du frigo, l’orage dans le lointain, et le passage d’un véhicule. La porte d’entrée est ouverte, l’odeur de l’herbe fraîchement coupée se mêle au parfum de la menthe. Plénitude !
- Publié dans: Tarn à coeur
Que c’est bon de lire que tu vas bien et profites de moments oui, de plénitude!
Cette aquarelle est superbe de couleurs, merci.
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Mon chat n’aurait pas une chaise longue vide très longtemps ! 😉
♥
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(Pardon, « n’aurait pas laissé une… »)
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Une aquarelle qui fait rêver… à la plénitude. Un lieu où j’aimerais passer un instant, ce jardin. Je vous envierais presque d’entendre le chant des cigales, moi c’est surtout le chant de mes acouphènes que j’entends par moments 😉
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Belle illustration d’une période estivale ! Bon reps ,Lou, bien mérité…
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La plume a bien du mal à écrire dans l’espace réduit,! Illisible ! Du coup le o de repos est resté en rade.
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