« For me formidable »
Interprétation de Julien Clerc, pour avoir un p’tit air dans la tête, dans le coeur et à chantonner…
Et si tu n’existais pas
Un générique de fin du film « c’est quoi ce papy ? » qui m’a remis en tête cette chanson interprétée par Jo Dassin. Tendre « slow » sur cet air…
Una de esas noches si final
paroles
Una de esas noches sin final
Me trae tu voz cada mañana
Y otra vez me vuelve a despertar suave rumor de tus palabras
Son tus labios dulces como un mar de leche y miel, canela y cielo
Y en tus ojos cada amanecer parecer arder mi piel de fuego
No puedo pensar vivir sin el ancho
De tu espalda sobre mi sábana inquieta
Mirándote sonreír cuando tu boca se escapa para que yo me la beba
Cuando vuelva amanecer otra vez te escucharé decir mi nombre sin miedo
Y otra vez te besaré como besa esta mujer antes de decir te quiero
Pasarán los siglos y quizá seremos más lentos amando
Seguro tardaremos más en inventar nuevos abrazos
Y el relieve sobre nuestra piel será cruel desobediente
Pero al alba yo te cantaré la misma copla de amor valiente
No puedo pensar vivir sin el ancho
De tus espalda sobre mi sábana inquieta
Mirándote sonreír cuando tu boca se escapa para que yo me la beba
Cuando vuelva amanecer otra vez te escucharé decir mi nombre sin miedo
Y otra vez te besaré como besa esta mujer antes de decir te quiero
Lerelerelele de decir te quiero
Lerelerelere de decir te quiero
De decir te quiero
Plénitude
Il est 21 h 30.
Le calme sur la ville. Je n’entends que les chants des cigales dans ma tête, le frémissement du moteur du frigo, l’orage dans le lointain, et le passage d’un véhicule. La porte d’entrée est ouverte, l’odeur de l’herbe fraîchement coupée se mêle au parfum de la menthe. Plénitude !

dans le cadre des Petits Carnets de Don Jerry Can Alias Michel
Dernières photos de la Maison des marguerites
Dernier jour, et photos nostalgiques de ce qui ne sera plus à moi.






Un nouveau départ ?
Sous la tonnelle de la maison
La maison est désormais vide. Bientôt, l’acte de vente sera signé.
Sous la chaleur du jour, j’ai fait un petit tour dans le jardin en folie, entre « mauvaises herbes », pampres de la vigne, rosiers en fleurs, la lavande bientôt en fleurs, les reines claude en promesse, et parfum subtil des lauriers roses. La tonnelle couverte de la vigne Muscat de Hambourg protège un tant soit peu de la canicule.


Mon jardin m’offre de beaux souvenirs…

Un salut à vous tous, qui maintenaient le lien en venant, discrètement, entre’ouvrir la porte de ma maison.
La maison des marguerites est toujours mienne jusqu’aux environs du 15 juin. Le compromis de vente a été signé, et je poursuis la fastidieuse tâche de trier, jeter, vendre ce qui peut l’être et trouve acquéreur. Heureusement, je suis aidée par soeurette et mes fidèles amies.
Mon jardin se réveille, la vigne sur treille a fleuri, le muguet aussi, sous les branches, à l’ombre. Le trèfle couvrant envahit le reste du jardin. Les iris égayent ce qui sera un départ qui me fendra le coeur. Le Pierre de Ronsard et le rosier anglais mettent des touches de couleurs tendres et embaument à mon passage. Je cueille leurs roses pour agrémenter mon autre maison.
La deuxième injection a été réalisée.
Merci d’être là et d’avoir été là.
Vos mots