« Cagnac-les-Mines : un paysage industriel préservé »
« L’histoire du charbon à Cagnac débute en 1882 lorsque Emile Grand (1844-1926), ancien ingénieur des mines de Carmaux, entreprend des sondages à Camp Grand.
La première veine de charbon est découverte en 1883. Trois puits sont dès lors foncés sur la commune de Cagnac, et gérés jusqu’à la nationalisation (1946) par la Société des Mines d’Albi (S.M.A.), concurrente de la Société des Mines de Carmaux (S.M.C.).
Les puits n°1 et n°2, où se trouve le musée, sont exploités dès 1890 et lorsque le puits n°3, beaucoup plus important en terme de capacité d’extraction, entre en fonction en 1905, ils deviennent les puits d’aérage et, à la fermeture du puits n°3 en 1979, des puits de secours.
Bien qu’incomplet (le puits n°1 a été détruit), ce carreau de mine est le seul témoignage sur site encore existant de l’exploitation du charbon dans le bassin Carmaux-Cagnac. Les autres puits de mine du bassin ont tous été démantelés ainsi que les infrastructures annexes sauf le Centre de Préparation du Charbon (C.P.C.), encore visible à Blaye-lesMines mais sans réappropriation. »
Au pied de ce bâtiment, le tableau d’honneur des Mines d’Albi : Morts pour la France.
- Publié dans: Cagnac-les-Mines♦Tarn à coeur
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Et combien de morts dans les mines ? Il est vrai qu’après y avoir travaillé, aussi, l’espérance de vie était sérieusement raccourcie…
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Un article en réponse…
http://carmaux.fr/Commemoration-catastrophe-de-la-mine_1078.php
Ainsi que sur la silicose…
http://www.futura-sciences.com/magazines/sante/infos/dico/d/medecine-silicose-6719/
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