Narcissus poeticus
Dans mon jardin, ce jour de la Sainte-Louise. 🙂
Il y a des chagrins professionnels, mais aussi des chagrins d’amour.
Je me mets en pause.
Offert par Pomme du blog « j’ai descendu dans le jardin »
- Publié dans: Jardin et fleurs
- Tagué:fleur
une première visite en ce printemps que je devine également du Sud chez toi?
je mets une lien sur mon billet de printemps pour revenir voir tes rues d’Albi, Rabastens, que j’aime tant.
Y as-tu visité le Musée, au premier étage près de l’Office de tourisme ?
On y expose des toiles de JAne Atché (sans doute quelques-unes même si l’expo est passé depuis quelques année), une disciple de Mucha
Et des costumes enrichis de broderies
MErci pour ces photos des placettes derrière le mail…. Et je me souviens de la vitrine du pâtissier sur le mail, un délice pour les yeux !
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Merci d’aimer ainsi ma région, notre Tarn. Oui, il y a bien longtemps j’ai visité ce Musée, et je retournais, ce jour-là, pour le revisiter. Je me souvenais des vêtements brodés et du charme suranné de ce musée, mais les portes étaient fermées. J’y retournerai.
Quant au pâtissier, je faisais à chaque anniversaire familiale, les kilomètres qui séparent Gaillac de Rabastens pour céder à la gourmandise des gâteaux de la pâtisserie Rivière. Merci, votre commentaire a mis un petit sourire sur mon chagrin.
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Narcissus poéticus et aussi odorantes…!!
J’ espère que les nuages n’ ont pas trop fait tache sur ton ciel bleu…?
Bisous Lou
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Ton chemin de jardin est bien fleuri de ces magnifiques narcisses avec une belle chanson d’Isabelle Aubret.
Je vais souffler très fort afin d’éloigner ces vilains nuages…
Gros bisous, Lou et mes pensées bien amicales.
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buon inizio della primavera, dolce amica Lou
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Narcisse n’est pas un ciste
Pas
Il est poète au fond des
Bois
Courbe sa tête bien triste soir
Oh Marguerite
Louise
Tu es belle dans tes larmes d’eau vraie
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Ah, les narcissus poeticus, joli brin de fleur au nom évocateur…
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Lou des marguerites, belle pause et souviens toi que tout est impermanence… Lumineux mercredi à toi. brigitte
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Quel sage conseil Brigitte. Je m’essaye à appliquer. J’y tends mais je n’ai pas atteint ce niveau si nécessaire de la réflexion. Merci pour vos ailes caressantes. Je suis debout, même, si sensible. Je remets en ordre mes pensées et mes sentiments. Demain sera un autre jour
Guillevic a écrit :
« Il y aura encore
Des jours,
De la lumière.
Tu verras comme avant
Les avancées de l’ombre,
L’hypocrisie
De sa démarche.
Comme avant,
Mais peut-être mieux.
Tu ramasseras des cailloux,
Encore,
Comme si c’était
La première fois.
Tout ce que tu diras
A ces cailloux.
Je ne cherche pas
A deviner.
C’est toujours neuf.
Jamais rien,
A tout âge,
N’est plus neuf
Qu’un sein.
Tu l’as dit assez
A tes cailloux.
Ce sera donc comme si
Tu ne savais rien encore,
Persuadé
Qu’il faut apprendre.
Les soirs encore
Seront décisifs.
Jamais sûr
De traverser.
Supporter
Comme jusqu’ici
L’insupportable,
Tu sauras?
Aller vers le blanc,
Toujours intrigué,
Ne comprenant pas
Cette négation
Du gris des jours,
Des cris essayés
Par les couleurs.
Et l’eau,
Arrêtons-nous.
Arrêtons-nous
Sur celle de la flaque et de l’étier.
Sur celle de la mer,
Si tu oses.
Avant de t’arrêter,
Pense encore
A des couchants que tu verras,
Ces couchants qui font
Que l’on veut durer.
Rien comme ce qui est précis
N’ouvre sur l’illimité.
Ainsi le ciel clair,
Des nuages nets,
Un soleil rouge
Qui descend.
Modeste.
Ils ont dit : modeste.
Ils ne savaient pas.
Qui n’est pas modeste
Quand il est en proie?
Ouvre tes mains pour voir
Si tu caresses quelque chose
Où va s’incarner
Le nouvel instant
Que tu épouseras
Durablement,
L’instant tel que jamais
Il n’y en eut.
Comme si c’était modeste
D’être un corps ensemble
Avec l’océan
Et avec l’instant,
De garder en soi
Enfin confondues
La verticale
Et l’horizontale.
Comme si c’était modeste
De réunir en soi,
Limites brisées,
Indiscernables,
Le temps de la mer
Et l’eau de l’instant.
Ainsi donc,
Tant que tu pourras,
Tant que la lumière
Te portera.
Celle des horizons,
Celle des regards.
Celle qui vient des pierres,
Celle qui vient des mains. »
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Lou, je viens ici car je ne peux pas mettre de commentaire dans ton dernier billet.
Je voulais juste te dire, ne ferme pas complètement le volet, laisse passer un peu de lumière.
Gros bisous
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Idem pour moi…comme Denise…!! Je te dis à bientôt ,surement…j’ espère.:-))
Bisous
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Quand nos directions comprendront-elles que le boulot est plus agréable (et tout le monde s’y retrouve) si leurs employés sont heureux… d’être accessoirement simplement considérés comme des êtres humains et non comme des pions interchangeables ? Je compatis…
Pour les peines de coeur, je n’ai pas de remède, chacune réagit à sa manière et ma solution ne te conviendrait sûrement pas 😉
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Surtout lorsque la lune et la thyroïde s’affolent… Fatiguée de ces cycles de pression haute et basse. Fatiguée. Et pour les battements du coeur, qu’elle est donc ta recette ? Tout peu s’entendre, après on analyse. 😉
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Je me suis dégagée avec difficulté d’une relation toxique et je me suis trouvé d’autres centres d’intérêt aidée en cela par la vision (qui me rebutait) de certaines s’épuisant dans des relations sans lendemain ou se ruinant en chirurgie esthétique… à refaire tous les ans.
Ces messieurs eux, ne font pas tant d’efforts pour séduire des tendrons qui ont 20 ou 30 ans de moins qu’eux. Bizarrement quand ils se font plumer je n’arrive pas à éprouver de compassion 😉
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Je comprends le point « toxique ». J’en ai conscience.
Pour les centres d’intérêt, je n’en manque guère et j’en suis riche. Mais le temps manque à l’affaire, à les faire. Le quotidien professionnel et familiale en limite les franges. Dès qu’elle peut, l’oiselle sort de son nid. Enfin quand je dis « l’oiselle », il y a déjà quelques heures de vol au compteur ! 😉
La chirurgie esthétique ! pas prête à y toucher, ou à me toucher ! Ah que non, ah que nenni ! Suis comme je suis et resterai.
Et comme le chante Gréco :
« Si tu t’imagines
Si tu t’imagines
Fillette fillette
Si tu t’imagines
Xa va xa va xa
Va durer toujours
La saison des za
La saison des za
Saison des amours
Ce que tu te goures
Fillette fillette
Ce que tu te goures
Si tu crois petite
Si tu crois ah ah
Que ton teint de rose
Ta taille de guêpe
Tes mignons biceps
Tes ongles d’émail
Ta cuisse de nymphe
Et ton pied léger
Si tu crois xa va
Xa va xa va xa
Va durer toujours
Ce que tu te goures
Fillette fillette
Ce que tu te goures
Les beaux jours s’en vont
Les beaux jours de fête
Soleils et planètes
Tournent tous en rond
Mais toi ma petite
Tu marches tout droit
Vers sque tu vois pas
Très sournois s’approchent
La ride véloce
La pesante graisse
Le menton triplé
Le muscle avachi
Allons cueille cueille
Les roses les roses
Roses de la vie
Roses de la vie
Et que leurs pétales
Soient la mer étale
De tous les bonheurs
De tous les bonheurs
Allons cueille cueille
Si tu le fais pas
Ce que tu te goures
Fillette fillette
Ce que tu te goure »
🙂 🙂
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